jeudi 4 février 2010

Jeudi, le 21 janvier 2010 – Prêts, pas prêts, on s’enligne vers El Faro!

Ici au Mexique, pas vu de kiosque d’information touristique officiel, les seuls rencontrés sont des compagnies qui veulent vous refiler un tour quelconque. Les meilleurs agents touristiques sont en fait les voyageurs (surtout québécois) rencontrés au fil de la route. Ce sont eux aux grés des discussions qui nous fournissent leurs secrets de voyage et nous glissent les meilleurs coins. Sans eux, notre voyage n’aurait vraiment pas été celui qu’il est.

Notre prochaine destination sera donc El Faro (Faro de Bucerias). Non seulement nous a-t-on parlé de sa belle plage mais en plus, ça nous fait pas trop de kilométrages (sur les côtes toujours) avec notre super-réparation jusqu'au prochain garage, qui espérons-le nous attend à la prochaine grande ville, c’est-à-dire Manzanillo.

Au Mexique, il y a beaucoup de « Free Beach » qui se fait. En fait, c’est rarement « free » (mais presque) et le principe est excellent. C’est parfois des ententes avec des restos de bord de mers (sous les palapas), parfois un bord de mer avec un gardien (parfois sans, mais de bons voisins)... Ce n’est donc pas un camping officiel mais quand même connu des voyageurs. Certains offrent quelques « services » comme des toilettes et des douches d’eau froide (la plupart même). C’est donc à El Faro que nous allons connaître ce type d’installation - un Palapa nous ayant été indiqué par de très bons conseillers.



Arrivés tôt en matinée, on sillonne à travers le village, sur la route de pierres avec des travées de ciment, pour arriver à notre site. Un autre VR vient d’y arriver et nous informe qu’on passera ce soir pour le paiement du site. Aussi simple. Pour le reste on se stationne en face d’une des rangées du palapa et on part à la découverte de la plage. Wow! Celle-ci est superbe mais les vagues ÉNORMES. Pas tentant pour la baignade mais tout un spectacle durant toute cette journée.



En PM, on part à pied à la recherche de la poissonnerie (la pescadaria) et d’un « abarrotes » (une épicerie ou plutôt un « dépanneur » en bon québécois). Ça nous fait découvrir le village qui est bien particulier. Très peu développé, simple où beaucoup semble posséder leurs animaux de ferme (cochons, poules en tout cas) et leur potager. Le temps semble arrêter ici, avec la mer à côté, on doit arriver à bien se débrouiller.

Oui, les très énormes vagues tout à côté auront quelque peu gêné notre sommeil, mais y’a pire avouons-le comme…les fameux coqs du voisinage. Non mais, ce n’est pas supposé chanter juste aux matins "ça"? Au Mexique, on aura aussi appris ce fait – des coqs, ça chante toute la nuit!!! C’est quand même incroyable tout ce qu’on apprend ici : )


3 commentaires:

  1. Hola Émilio et "Laurentio" vous avez un beau bronzage et vous commencé a ressembler a de petit Mexicain,vous êtes beau. On se parle bientôt.
    Paulette & Claude
    théo

    RépondreSupprimer
  2. allo a vous quatre, comme Paulette et Claude ont raison vous avez un beau bronzage. Une photo de la palapas je vois Emile qui saute dans le sable quel plaisir les gars vous aurez a faire des constructions de votre choix. On se parle bientot. gros becs et pleins de push...push...gmn

    RépondreSupprimer
  3. Bonnes fête Émilie,passe du bon et beau temps et appel nous ,nous serons très content.

    On t'embrasse.

    Paulette & Claude
    théo

    RépondreSupprimer